La petite histoire
L’éperon rocheux sur lequel se bâtit Marville dès la fin du XIIe siècle jouit d’une position défensive exceptionnelle.
Arrière de l'église
Côté est, la pente abrupte constitue un rempart naturel.
Lorsqu’on s’approche du parapet, on aperçoit à gauche, à l’extrémité de l’éperon rocheux, ce qu’il reste du château : des murailles percées de bouches à feu et surmontées de granges.
À droite, derrière la demeure bourgeoise arborant de récentes tours, a été percé au sud de la ville le seul fossé défensif de Marville, selon la technique de l’éperon barré. Il borde au sud-est, la porte de la Halle ; au sud, la porte du Basle, et, au sud-ouest, la porte du Crédon. Le lavoir de Crédon a été construit au XIXe siècle à l’extrémité sud-ouest du fossé.